Un Husky aide le refuge qui l’a sauvé à atteindre les 10 millions d’adoptions

En tant que Husky, Balto aurait dû pouvoir se dépenser à la hauteur de son énergie. Mais ses anciens propriétaires en avaient décidé autrement. Enchaîné à l’extérieur de leur logement, le malheureux subissait le mauvais temps et la solitude. Heureusement, sauvé par des bienfaiteurs et emmené au PetSmart Charities, il avait désormais une nouvelle chance de devenir un toutou de compagnie comme les autres.

Justement, quelque temps après son arrivée, les bénévoles ont organisé un événement devant une animalerie pour engendrer des adoptions et récolter des fonds. Balto faisait partie des participants, qui étaient présentés aux potentiels adoptants dans le but de trouver un foyer définitif.

Ce jour-là, Vanessa De La Rosa et sa famille se rendaient dans cette même boutique pour acheter un poisson mangeur d’algues. Lorsqu’ils ont vu la tente dressée par l’organisme de bienfaisance, à l’occasion de leur campagne d’adoption, ils y sont entrés par curiosité : « Nous avons vu que PetSmart Charities organisait un événement d'adoption d'animaux de compagnie ce week-end, alors ils avaient monté une tente à l'extérieur. Et avant d'entrer dans le magasin, nous nous sommes dit que nous allions juste y faire un tour » a confié Vanessa à People.

« Nous devions le prendre »

Sous le chapiteau, les De La Rosa ont parcouru les allées et sont tombés nez à nez avec Balto. Le chien de traîneau a tout de suite attiré leur attention. Bien qu’ils étaient venus pour regarder, ils ne sont pas restés indifférents face à lui : « Plus mon fils interagissait avec Balto, plus je voyais le lien qu’il y avait entre eux ». Le jeune homme a d’ailleurs partagé une partie de jeu avec le Husky, lequel lui rapportait constamment la balle pour s'amuser.

PetSmart Charities / Facebook

Surpris et progressivement séduits par Balto, Vanessa et son conjoint ont commencé à envisager la possibilité de repartir avec lui. Et lorsqu’ils ont eu vent de son histoire passée, le doute n’était plus permis : « Il avait besoin de vivre quelque part où il ne serait pas enchaîné, où il aurait de l’espace pour courir et interagir avec son environnement ».

La famille a finalement décidé de l’adopter : « J'ai signé les papiers et nous avons complètement oublié le mangeur d'algues » a plaisanté Vanessa.

Pour le refuge, c’était une double victoire. Non seulement l’un de leurs pensionnaires venait de trouver un foyer aimant pour la vie, mais il était aussi le 10 millionième chien à partir depuis la création de l’organisme. Un joyeux record pour tous les protagonistes du récit.